Ressources humaines - Page 12
En cas d’arrêt maladie d’un salarié, l’employeur dispose de certains droits. Il peut notamment organiser une contre-visite médicale.
L’activité partielle de longue durée (APLD) vise à soutenir les entreprises dont la baisse d’activité liée à la crise sanitaire perdure.
Ennui par manque de tâches ou sentiment d’absurdité face à ses missions, bore-out et brown-out désignent des pathologies distinctes mais toutes deux liées au travail.
Quelles sont les obligations d’une entreprise pour le transport des salariés ? L’épidémie de Covid-19 est toujours là, et le télétravail perdure, mais la question reste posée pour tous les collaborateurs. D’autant que de nouveaux dispositifs ont fait leur apparition.
En temps normal, c’est un rendez-vous déterminant qui permet d’exposer les orientations à venir. Dans la conjoncture actuelle, il revêt une importance particulière.
Fixer des objectifs clairs, rappeler les moyens à sa disposition, cultiver le dialogue, un manager attentif peut agir pour gérer un collaborateur anxieux.
Jusqu’en début d’année prochaine, afin d’encourager les embauches, une prime d’un montant maximal de 8000 € pourra être versée pour l’accueil d’un apprenti.
La clé de la réussite d’une entreprise passe aussi par le soin apporté à ses salariés. En cette période de crise du Covid-19, une réflexion s’impose particulièrement pour préserver leur bien-être, voire l’améliorer.
Dispositif d’activité partielle de longue durée : quel fonctionnement est envisagé ?
Depuis le 1er juillet, les employeurs confrontés à une baisse de leur activité peuvent, grâce au dispositif d’activité partielle de longue durée, négocier un accord d’entreprise d’une durée de 6 à 24 mois, afin de réduire le temps de travail.
L’épidémie de Covid-19 n’a pas mis un terme aux conflits avec les clients, les fournisseurs ou les salariés. Mais y faire face, en cette période de crise, peut s’avérer plus compliqué.
La crise du Covid nous a invités à revoir nos façons de travailler, parfois dans l’urgence. Mais que se passe-t-il s’il faut accueillir un alternant, stagiaire ou une première embauche dans un tel contexte ?
Plusieurs grands noms de la Tech ont annoncé la possibilité d’un télétravail permanent pour leurs salariés, au-delà de la pandémie de Covid-19. Ce mode d’organisation peut-il devenir la norme dans les entreprises françaises ?
Il est de la responsabilité de l’employeur de mettre en place les mesures pour préserver la santé des salariés. Que faire s’il l’un d’entre eux ne respecte pas les consignes sanitaires ?
Pour protéger leurs salariés, les employeurs sont invités, depuis le déconfinement, à revoir certains emplois du temps.
Malgré la crise, certaines entreprises ont besoin de recruter. Le processus doit être adapté au contexte pour rassurer les candidats potentiels, et limiter les risques.
Informer sur les mesures sanitaires, esquisser l’avenir, expliquer l’organisation du travail et s’assurer de l’implication des salariés : pour les entreprises, la reprise d’activité suppose de véritables efforts de communication interne.
La prolongation du télétravail est fortement encouragée pour lutter contre l’épidémie de Covid-19. Si le travail à distance comporte des avantages. Principaux points d’attention pour bien gérer le télétravail sur le long terme.
Dans le contexte de l’épidémie due au coronavirus, le dispositif FNE-formation a été renforcé, temporairement, pour apporter une aide aux entreprises qui sont concernées par l’activité partielle.
Depuis la survenue de l’épidémie de Covid-19, de nombreuses entreprises ont placé leurs collaborateurs en télétravail. Pour certaines, c’est une première.
Karine Delannoy, secrétaire générale de CTN Groupe et membre de France Défi, dévoile dans la chronique d’Experts & Décideurs TV sur Xerfi Business les coûts cachés du recrutement. Thibault Lieurade : Karine Delannoy, bonjour…Vous êtes Secrétaire générale de CTN Groupe, qui est membre de France Défi. Au travers votre expérience, vous avez relevé une erreur fréquemment […]


