
La santé mentale est au cœur des enjeux de l’entreprise. Face à la montée des risques psychosociaux, les dirigeants peuvent agir.

De nombreux dispositifs permettent de réduire le coût fiscal de la transmission, sous réserve de bien en respecter les conditions.

Il n’est pas toujours facile de recadrer et d’adresser un reproche à un collaborateur. Pourtant, c’est aussi le rôle du manager. Car il ne peut laisser une situation se dégrader sans risquer que cela soit préjudiciable pour l’entreprise. Voici quelques clés pour rendre cet exercice forcé constructif.

Tenues de mettre en place un mécanisme de partage de la valeur d’ici fin 2025, les entreprises de 11 à 49 salariés peuvent en profiter pour ajuster leur stratégie en la matière.

Le changement climatique et les risques naturels qu’il amplifie imposent déjà de prendre des mesures d’adaptation du territoire, du bâti et de son environnement. Les entreprises sont concernées et peuvent se tourner vers des solutions inspirées de la nature.

Le principe d’égalité salariale n’exclut pas les écarts de rémunération : encore faut-il que ceux-ci soient justifiés de manière objective et non discriminatoire.

Dans ce nouvel épisode d’Expert en la matière, Manon Chretien, experte en protection sociale au sein du groupe MG, livre ses conseils pour mieux appréhender la mobilisation des entreprises face aux violences conjugales.

Pour emporter l’adhésion et rassurer, mieux vaut soigner la manière dont vous annoncerez et expliquerez votre opération de transmission d’entreprise à vos proches, vos salariés ou autres parties intéressées au projet.

L’année 2025, placée sous le signe de la santé mentale, est l’occasion pour les entreprises de renforcer leurs actions de prévention des risques psychosociaux.

De plus en plus utilisés pour les activités professionnelles, les terminaux mobiles peuvent être l’objet de cyberattaques. L’entreprise doit mettre en place des mesures pour se protéger de ce risque.

À l’image de ses salariés, le dirigeant d’entreprise peut aussi voir sa santé mentale altérée. Jusqu’à se trouver contraint de s’arrêter pour prendre soin de lui, et de son entreprise.

Face à l’usage croissant et souvent informel de l’intelligence artificielle (IA) par les salariés, les entreprises peuvent poser un cadre clair grâce à une charte de bonnes pratiques.

La question de la santé mentale au travail s’impose de plus en plus comme une réalité à laquelle les dirigeants doivent faire face. Anxiété, dépression, burn-out ou autres troubles psychiques peuvent perturber le fonctionnement de l’entreprise. Que faire quand un salarié va mal et que la poursuite du contrat de travail semble compromise ?

À l’image des risques psychosociaux, auxquels ils peuvent mener, les bore-out et brown-out ne cessent d’augmenter. Après en avoir reconnu les signes, le manager doit absolument réagir face à un salarié démotivé. Pour ce dernier comme pour l’entreprise.

Souvent négligée, la santé mentale du dirigeant constitue un enjeu stratégique, tant pour son équilibre personnel que pour la performance collective.

Une hausse trop rapide de l’activité peut mettre l’entreprise en difficulté si elle n’est pas maîtrisée. Voici quelques conseils pour éviter la crise de croissance.

La reprise du travail après un problème de santé mentale exige une attention particulière de la part de l’entreprise et du collectif de travail.

Selon une récente étude du cabinet de conseil Mazars, un salarié recevrait en moyenne 144 mails professionnels par semaine. Le chiffre monte à 200 messages à traiter pour les dirigeants. Pour ne pas être submergé, quelques mesures s’imposent.

Si les risques psychosociaux (RPS) augmentent dans tous les secteurs d’activité, ils sont plus prégnants ou spécifiques dans certaines professions. C’est le cas, notamment, de celles qui font face à un public compliqué ou fragilisé comme les médecins, les pompiers, les enseignants ou les télévendeurs.

Dans ce nouvel épisode d’Expert en la matière, Hervé Bloch, fondateur des BigBoss, livre ses conseils pour construire et entretenir son réseau d’entrepreneur.

Pour favoriser la transparence salariale, différents mécanismes contraignant les employeurs à diffuser davantage d’informations sur les rémunérations devront être intégrés dans la loi française avant juin 2026. Dans l’Union européenne (UE), les femmes gagnent encore en moyenne 13 % de moins que leurs homologues masculins. Or, si certaines entreprises jouent déjà cartes sur table, « le manque […]